"Une chaîne de podcasts qui décortique ce que l'on croit savoir de nos pratiques et leur impact sur l’environnement : ce que l'on fait de bien, ce que l’on fait de mal et ce que l'on pourrait faire de mieux."
“Y’a le feu au lac” est LA chaîne de podcasts à écouter pour connaître les véritables impacts de nos pratiques sur l’environnement et démêler le vrai du faux à propos des gestes éco-responsables. Elle donne également des solutions pour être plus vigilant.e, attentif.ve et responsable dans notre quotidien. Elle aborde des sujets aussi variés que l’impact du numérique et de la 5G sur l'environnement, être végétarien.ne, l’utilité des gourdes ou encore le recyclage, la climatisation ou l’impact du tourisme.
Cette chaîne est animée par le journaliste de Ouest France Lucas Scaltritti. Chaque podcast suit la même trame. Il introduit le sujet par des interrogations qu’il se pose ou des expériences vécues, et part d’a priori ou de fausses bonnes idées que tout le monde pourrait avoir. Il les confronte à la réalité et les remet dans leur contexte avec des chiffres officiels issus d’organisations nationales ou internationales (ADEME, rapports de l’ONU, OMS, OIT…) et l’actualité récente. Pour chaque sujet, il interroge plusieurs personnalités : journalistes, scientifiques, membres d’ONG, qui lèvent le voile sur certaines idées reçues et permettent de mettre ces sujets en lien avec les véritables enjeux environnementaux. Elles insistent sur le rôle qu’ont les citoyen.ne.s et l'importance d’agir à notre échelle, ou du moins de changer nos habitudes. Les podcasts se finissent par un résumé qui permet de récapituler tout ce qui a été dit, avec un accent sur ce qu’on peut privilégier ou au contraire éviter dans nos pratiques.
L’intérêt de ces podcasts est également de nous prémunir face au green-washing (plus particulièrement dans la saison 2) et les publicités mensongères dont les entreprises abusent de plus en plus. Pour cela, il se veut le plus neutre et le plus objectif possible et privilégie principalement des sources scientifiques et fiables, ne faisant intervenir que très rarement et en le justifiant, des personnalités du secteur privé. Cependant, il mentionne et promeut les réelles avancées et initiatives de certaines entreprises ou labels, tout en précisant que ce ne sont pas des solutions miracles et qu’elles ont toujours un impact. Il y a ainsi un véritable travail d’enquête et un recul important sur les “bonnes” idées.
Les podcasts sont relativement courts (une vingtaine de minutes), très faciles à écouter et adaptés à un large public. Ils se veulent synthétiques et accessibles. Il n’y a besoin d’aucune expertise ou connaissance particulière pour comprendre les sujets abordés. Lucas Scaltritti se met à la place de n’importe quel.le citoyen.ne confronté.e à ces défis environnementaux.
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